› nom: dunham ici, au choix. › prénom(s): marcy may. › age, dâte et lieu de naissance: vingt-quatre ans, date de naissance au choix, à chicago. › origines: anglo-saxonnes de son père, elle est américaine. › statut civil: fiancée ou mariée, au choix. › métier: aucun. › groupe: citizens. › crédits: tumblr.

(DESCRIPTION DU PERSONNAGE; histoire, caractère, anecdotes, physique, manies, habitudes, etc...) elle est belle, fragile, sereine. épargnée par la vie comme il ne l'a jamais été, elle est l'enfant chérie d'une riche famille de chicago, le placement financier idéal à tout mari désireux de former une alliance avec l'influente famille des dunham ▲ elle a des origines écossaises, d'où elle traîne encore un accent, qu'elle hérite de son père qui n'a jamais réussi à l'effacer ▲ marcy a toujours été l'enfant docile, du moins, en apparences. à vrai dire, elle se déteste tout autant qu'elle déteste tous les obséquieux fondements de sa vie ▲ cela vient principalement du fait qu'elle a été longtemps abusée par son oncle, qui faisait de trop nombreuses visites dans la maison familiale ; gamine, avec sa mère, elle passait les vacances d'été dans la campagne chez lui avec sa mère, et depuis ça a toujours duré ▲ elle éprouve une profonde haine pour sa famille, ou du moins, pour les longs repas pendant lesquels elle subit les regards lubriques de son oncle, les conseils de son père quant à convenir au mari idéal, et la jalousie naissante de sa mère ▲ elle a été plus ou moins promise à un jeune banquier on ne peut plus recommandable ; beau, parfait sous toutes les coutures, riche et dores et déjà attentif à tous ses besoins ▲ mais inlassablement revient en elle le réflexe qu'elle a avec tous les hommes, celui de croire qu'elle ne veut de lui qu'une chose, qu'elle lui offre son corps sans rechigner, comme elle l'a trop souvent fait ▲ avec son fiancé/mari, elle a souvent assisté à de nombreux banquets et autres réceptions, de ces cérémonies dans lesquelles elle ne trouve pas sa place, mais qui sont faites pour se montrer ▲ je laisse le reste à la disposition de votre esprit tordu ou non, c'est libre, libre (a)

(DESCRIPTION DU LIEN; en long en large et en travers (a)) Elle était mielleuse à souhait, à se dandiner aux yeux de tous, à esquisser des sourires de circonstance, serrer des mains d'inconnus en faussant tout le contentement qu'elle avait à être ici. Hypnotique, captivante, comme un brusque retour vers le passé qu'elle précipitait d'une simple œillade. Lysandra. Ou son portrait cracher, indécemment ramené sous ses yeux, là, serpentine et innocente, comme il l'avait connue. A une époque, au début de leur histoire. Et il était vingt ans en arrière, vigoureux et insatiable alors que c'était à son tour de se présenter aux yeux de la future madame X (à vous de voir le nom du fiancé). Comme une scène qui s'était déjà jouée, à l'époque où il avait vu son amour de jeunesse, la seule dans sa vie, affublée au bras d'un autre homme. Dont le manque d'amour se lisait ouvertement dans ses prunelles, où seule l'ambition de guinder son nom régnait. A l'instant de laisser ses lèvres vaguement frôler la main de la belle, il se montra tout aussi obséquieux que les autres, dans son regard, dans leur échange fugace qu'elle crut unique, suspendu dans le temps. Elle en vibra littéralement, retenant difficilement ses émois à l'oeil de tous, se contentant de laisser son sourire la trahir. Il avait ce goût d'inédit.

en résumé ; c'est lors d'une énième fête mondaine qu'ils se sont rencontrés, elle, au bras de son fiancé et lui, en tant que riche actionnaire influent de chicago. pour lui, elle est le portrait craché de lysandra celle qu'il aimait étant jeune et qui l'a laissé tomber alors qu'il était à la guerre (allez voir ma fiche) que ce soit physiquement, moralement ou même dans son tracé de vie. il oscille entre une séduction insidieuse qui se joue en lui et le feu de vieilles rancoeurs qui ne sont pourtant en rien concentrées contre marcy. elle, petite fille guindée dans son univers d'apparat, a le goût de l'aventure, de l'inédit et du risque, et à l'instant où elle a croisé les prunelles énigmatiques de skylar, elle a compris qu'avec lui, elle pourrait y goûter. elle se sent irrémédiablement happée par ce mystère et ce magnétisme qui l'entoure, rattachée, malgré tout aux obligations qu'elle a. ainsi, elle le fuit tout autant qu'elle le cherche, le hait pour ce qu'il est tout autant qu'elle s'affectionne de lui. ils ont déjà eu le loisir de passer de fugaces instants ensemble, à parler, échanger quelques paroles, des regards lourds de sens. il reste l'énigme qui ne veut pas parler de lui, de son passé, et à chacun de ses silences, il ne fait qu'éveiller la curiosité de la demoiselle. je pense prendre le lien à ce départ là et voir la suite avec la personne qui prendra mon scénario (a)